
Ce métier payé 3000€ à 5000€/mois est l’un des plus impopulaires en France. Mais aussi l’un des plus lucratifs. On vous explique tout.
En 2024, ce métier a été désigné comme l’un des plus impopulaires en France. Pourtant, il figure parmi les mieux rémunérés, avec des salaires allant de 3 000 € à 5 000 €. De plus, il est accessible après seulement 6 mois de formation. Ce métier, c’est celui de technicien funéraire. Voici pourquoi il pourrait être une opportunité professionnelle à envisager.
Les métiers bien rémunérés mais impopulaires : un aperçu
Ouvrons sur une certitude glaciale : seule la vision compte. Ceux qui misent leur carrière sur l’adhésion sociale finiront par végéter dans l’anonymat des masses. Le ROI maximal, lui, se niche là où tout le monde détourne le regard. Les métiers impopulaires ? Ce sont les tremplins ultimes pour quiconque a compris comment fonctionne la chaîne de valeur impitoyable du marché du travail.

Voici 5 raisons objectives pour lesquelles ces jobs négligés assurent un ROI supérieur à toutes les illusions « cool » et « fun » vendues par LinkedIn :
- Concurrence nulle ou fantomatique : Personne ne veut être sexeur de poussins ou nettoyeur de scènes de crime. Résultat ? Marché captif, négociation salariale à sens unique.
- Primes de risque systématiques : Le danger ou le dégoût se monétisent très bien, en bonus fixes et variables. Plus c’est borderline, plus ça paie !
- Formation ultra-courte : Oubliez les longues années d’études – souvent quelques mois suffisent pour déverrouiller des salaires indécents.
- Niche exploitée, barrière à l’entrée verticale : Méconnaissance = barrière naturelle. Vous êtes perçu expert dès la prise de poste.
- Progression record : Moins d’ambitieux, donc ascenseur social sans files d’attente ! Accès rapide aux postes à responsabilités ou à la création de micro-business dans la branche.
En résumé, la rentabilité se cache souvent dans les secteurs où l’image sociale est peu valorisée. Investir dans ces créneaux désertés peut offrir des opportunités financières insoupçonnées.
Le secteur funéraire : rémunérations et réalités
Admettons-le sans détour : le secteur funéraire est un domaine peu évoqué, mais où les opportunités financières sont bien réelles. Ici, la pénibilité se convertit directement en cash, la solitude professionnelle devient prime. Oubliez les salaires à deux vitesses des jobs glamour : dans cette filière, c’est l’impopularité qui fait exploser le ROI.

Thanatopracteur et embaumement ⭐⭐⭐⭐☆
Ceux qui pratiquent l’embaumement encaissent entre 1 600 € et 4 500 € bruts/mois, selon qu’ils soient salariés ou indépendants. Le ticket d’entrée est bas : une formation courte (quelques mois) suffit, validée par une habilitation préfectorale. Leur quotidien ? Manipulation de produits chimiques, exposition biologique constante, nuits blanches... Le « bonus » : primes de risque et absence totale de concurrence sérieuse. En moins de 5 ans, retour sur investissement pulvérisé pour quiconque maîtrise son art.
Agent funéraire et gestion de crémation
Agent funéraire ? C’est le gardien silencieux du dernier voyage. Rémunération affichée : 1 500 à 2 000 € brut/mois, parfois plus via astreintes nocturnes et bonus pour disponibilité absolue – on parle ici d’une présence 24/7. L’anecdote que personne n’avoue au recrutement : certains agents cumulent plusieurs cycles de crémation par jour, maximisant leur prime chaque semaine.
Gestionnaire de cimetière
Derrière chaque parcelle entretenue se cache un gestionnaire souvent oublié – faux ! Ceux-là touchent jusqu’à 50 000 €/an dans les grandes villes ou zones sinistrées (avec un minimum autour de 1 700 €/mois ailleurs). Maintenance des sépultures, tâches administratives impitoyables… Un boulot que beaucoup fuient mais qui garantit sécurité salariale ET avantages annexes (logement parfois inclus !).
Les carrières du funéraire : impopulaires mais ultra-stratégiques pour ceux qui veulent une avance irrattrapable sur la majorité.
Professions à risque : des salaires élevés pour des conditions extrêmes
« Les secteurs que tout le monde fuit recèlent les opportunités financières les plus explosives. »
Zone de danger = jackpot statistique. Oubliez les fantasmes du bureau climatisé : ceux qui s’exposent, raflent, point final. Les jobs à haut bénéfice ? Ils côtoient la mort ou la chute libre tous les jours. Démineur, plongeur scaphandrier, cordiste… Chaque poste exige une résistance mentale que 99% des candidats n’atteindront jamais. Mais pour ceux qui survivent à la sélection, c’est l’escalade des primes et des contrats courts surpayés.

Démineur : neutraliser l’explosif
Le parcours démarre quasi-exclusivement par une formation militaire (armée de Terre, Marine nationale), ou un recrutement sécurité civile ultra-filtré – aucune place au hasard ! Le salaire de base tourne autour de 1 880 €/mois net, mais ce n’est qu’un début : chaque mission active déclenche une prime de risque d’environ 800 € (source Le Parisien). Les statistiques ne mentent pas : incidents fréquents, vies brisées – c’est impitoyable. Pourtant, la pénurie de candidats assure une sécurité d’emploi inégalable et un respect tacite dans toutes les unités.
Plongeur scaphandrier : travail sous haute pression
En offshore pétrolier ou gazier, le plongeur scaphandrier touche 9 000 à 10 000 €/mois dès deux ans d’expérience (données 75secondes.fr). Les cycles sont redoutables : 15 jours en mer contre 15 jours off. Bonus pour chaque plongée profonde ou travail hyperbare – certains doublent leur salaire annuel avec des missions extrêmes ! Mais attention : complications physiologiques lourdes (maladie de décompression, séquelles neurologiques) à chaque descente…
Cordiste : travaux en hauteur
Le cordiste est payé à la hauteur du vertige qu’il encaisse. Débutant ? Entre 1 700 et 3 000 €/mois, mais sur chantiers extrêmes et interventions dans le BTP complexe (façades urbaines, sites classés), le salaire grimpe vite jusqu’à 3 500 €/mois net avec primes spécifiques (source Obat, HelloWork). Certification obligatoire (CQP Cordiste), contrôles sécurité quotidiens… Peu tiennent plus de dix ans ; ceux qui résistent accumulent capital et carnet d’adresses exclusif.
Anecdote vérifiée : Un cordiste senior contacté pour dégager un nid de frelons sur la Tour Eiffel a touché l’équivalent d’un trimestre d’un cadre moyen… pour trois heures suspendu dans le vide.
Métiers de l’assainissement : quand le dégoût devient rentable
Plus c’est sale, plus c’est rentable : voilà la règle que les esprits faibles refusent d’admettre. La propreté extrême ? C’est un business impitoyable, régi par le manque de main-d’œuvre. Ici, l’odeur et le dégoût sont des produits dérivés – ils s’échangent contre du cash réel, pas des likes ou des applaudissements creux.

- Horaires nocturnes : Majorité des shifts hors des plages 9h-17h ; le calme, la solitude et la pénibilité se négocient à prix d’or.
- Primes pour odeurs et risques biologiques : Les barèmes explosent dès qu’il s’agit de manipuler déchets putrescibles ou cadavres animaux. Bonus systématiques sur chaque mission « insalubre ».
- Progression expresse vers la gestion d’équipes : Les candidats désertent les échelons – ceux qui restent grimpent vite, très vite.
Éboueur : collecte et logistique des déchets
Le réveil sonne à 3h45. L’éboueur attaque la tournée quand la ville dort encore ; stress permanent pour éviter accidents ou blessures, pression du timing pour finir avant embouteillages. Salaires nets en France : 1 600 à 2 100 €/mois (source Boursicoteur). Primes ajoutées pour travail jours fériés, intempéries ou usage de machines spécifiques (gros camions-bennes dernière génération). Un détail qui tue : beaucoup roulent avec permis poids-lourd payé par l’employeur – tremplin vers d’autres métiers du transport… ROI maximal pour qui sait résister au regard méprisant du voisinage !
Dératiseur : lutte contre nuisibles
Le dératiseur ne fait pas que pulvériser du poison – il suit un protocole légal strict pour chaque intervention. Manipulation régulière de toxiques classés danger catégorie 2 ; signature d’attestations réglementaires à chaque passage. Salaire moyen : environ 1 800 €/mois (MaFormation), mais sur clientèle privée ou marchés d’urgence (infestation écoles/restaurants), factures multipliées par deux ou trois ! Formation courte exigée (souvent CAP ou titre certifié) – le marché adore les indépendants, car flexibilité = explosion du deal financier en direct.
Nettoyeur de scène de crime : expertise post-incident
Certains disent « métier impossible ». Eux répondent : « Expertise rare, facturation premium ». Nettoyeur-scène-de-crime décroche une moyenne entre 1 800 € et 3 500 €/mois (VieDesMetiers). Intervention 24/7 obligatoire, certification Hygiène & Décontamination indispensable ; manipulation d’agents pathogènes et traumatismes visuels quotidiens. Prime psychologique ajoutée sur chaque devis ! Anecdote tirée du secteur : un nettoyeur senior a déjà refusé trois CDI classiques après cinq ans dans la branche – il préfère garder ses horaires sauvages mais sa liberté absolue… et ses revenus hors-norme !
Spécialités techniques et industrielles : expertise rare et forte rémunération
Si vous cherchez la planche à billets oubliée, c’est là : les métiers tech-indus que personne ne s’arrache. Le fil rouge : Si ça ne rapporte pas, c’est que ce n’était pas la bonne stratégie. Ces fonctions combinent expertise rare, conditions hardcore et prime de rendement qui laisse rêveur.

Technicien plateforme pétrolière : vie offshore et primes
Un mythe ? Non – un deal impitoyable. Les techniciens de maintenance offshore démarrent à 1 500 €/mois brut, mais le vrai calcul commence ensuite : ajoutez 20% de prime zone (danger + isolement), puis 25% d’indemnités expatriation. Un cycle typique : 28 jours d’affilée, quarantaine stricte, heures supp’ monnaie sonnante. Résultat : panier mensuel dépassant 4 500 € pour les aguerris (source). L’anecdote du terrain : certains collectionnent les missions pour doubler leur capital en moins de deux ans… et disparaissent du circuit salarié classique.
Inséminateur en élevage : biotechnologies et rendement
Oubliez l’image ringarde. L’inséminateur moderne maîtrise la génétique animale : préparation des doses, gestion des cycles hormonaux, interventions ultra-ciblées. La pression sur le taux de fertilité est extrême – chaque échec se paie cash par une prime envolée au concurrent local. Rémunération moyenne : entre 1 700 € (début) et plus de 3 000 €/mois en indépendant performant (salairemoyen.com). Les plus efficaces cumulent “prime réussite” et fidélisation clientèles grands élevages. Sans rendement, on dégage : politique zéro tolérance dans la profession.
Testeur de médicaments en laboratoire : protocoles et bonus de risque
Jamais vu un job aussi frontal : cobaye pro sous contrôle médical strict. Protocole ? Suivi clinique rigide, risques sanitaires omniprésents (effets secondaires imprévisibles). Salaires explosifs pour la catégorie : 30 000 à 40 000 €/an dès le départ avec des bonus pour chaque phase critique ou test à haut risque ; certains seniors flirtent avec 60 k€ annuel (Doctoblog). Le delta ? Ce sont les indemnisations « aléas vitaux » que supporte le corps…
Ces postes impopulaires sont des tremplins financiers si on vise efficacité brute et cash immédiat.
Se lancer : formations, salaires et perspectives
L’accès aux métiers impitoyables ne tolère aucune procrastination. Oubliez les parcours universitaires interminables : le ROI commence avec la formation courte, ciblée, rentabilisée en un temps record. Si vous cherchez la maximisation du cash-flow, voici la réalité du terrain : CAP, Bac Pro, mais surtout certifications express (MaFormation, Je-change-de-metier.com) sont les sésames d’un avenir que le marché surpaie en silence.

Formations courtes : tableau de l’efficacité brute
| Métier | Formation | Durée | Coût (€) | Salaire débutant (€) |
|----------------------------|-----------------------------|-----------|-------------|----------------------|
| Thanatopracteur | Certificat d’aptitude | 6-8 mois | 2 000-3 000 | 1 600-2 800 |
| Éboueur | CAP Propreté | 6-12 mois | <1 500 | 1 600-1 900 |
| Agent funéraire | Titre pro/Certif. spécifique| 2-6 mois | <2 000 | 1 500-2 000 |
| Cordiste | CQP Cordiste | 4 mois | ~3 000 | 1 700-2 500 |
| Dératiseur | Certificat Hygiène | 3 mois | <1 500 | ~1 800 |
| Testeur médicament | Certification Lab | Variable | (gratuit) | >2 100* |
*Indemnités variables selon mission/essai clinique.
Évolution de carrière et reconversion sectorielle
Fausse croyance : ces métiers seraient des impasses. Erreur stratégique majeure ! Les passerelles abondent via iGraal (financement formations online), MaFormation ou Je-change-de-metier.com. L’expert terrain gravit rapidement vers management opérationnel ou création de boîte spécialisée – typique chez les cordistes ou nettoyeurs pro, où certains lancent leur micro-business dès trois ans d’expérience. Istvan Drouyer l’a prouvé : reconversion = accélération brutale si on accepte l’impopularité comme monnaie.

Salaires, primes et avantages en nature
En France, primes « extrêmes » = deal non négociable dans ces branches. La prime de risque oscille entre 80 € à plus de 400 €/mois pour exposition chimique, biologique ou physique (voir Droit-Finances). Ajoutez bonus nuit/férié (+20 à +30% sur le brut), avantages matériels rares (logement de fonction, repas offerts, véhicules pros). Le fossé salarial est criant : un agent funéraire ou technicien pétrolier peut doubler son revenu avec astreintes et primes cumulées – ceux qui s’en plaignent n’ont juste pas compris où était le vrai deal.
Chaque année passée dans une niche impopulaire peut surpasser financièrement plusieurs années dans un emploi classique.
Choisir un métier d’avenir impopulaire mais lucratif
Le statu quo, c’est pour les rêveurs sans chiffres. Si vous visez la sécurité financière, arrêtez de suivre la masse ! Identifiez la niche qui vous dégoûte ou vous effraie, analysez son ROI froidement et investissez tout : temps, énergie, réputation. Comme le dit Robert Kiyosaki dans « Père riche, père pauvre » : ceux qui fuient le sale boulot restent pauvres ; ceux qui l’embrassent créent des actifs impitoyables. Derrière chaque poste méprisé se cache une opportunité explosive — saisissez-la avant que les autres ne se réveillent… ou restez spectateur du deal. À vous de jouer ou à vous d’endurer — faites votre choix !